dominique bagouet l'oeuvre les carnets bagouet references
contact liens credits
indexplan du site
retour a la liste
-
 lettre d’information /décembre 2015

logo

Bonjour,
Comme chaque saison plusieurs projets de transmission vont se dérouler sur le territoire, en voici la liste :

Transmission de 3 soli extraits de Meublé sommairement, Necesito et So Schnell par Olivia Grandville et Catherine Legrand pour les danseurs du Ballet de l’Opéra National de Paris dans le cadre de la manifestation « 20 danseurs pour le XXème siècle » conçue par Boris Charmatz dans les espaces publics de l’Opéra Garnier du 20 septembre au 11 octobre 2015.

Transmission d'extraits de Meublé sommairement, Le Saut de l'ange, Une danse blanche avec Eliane par Priscilla Danton et Romain Panassié pour les élèves du Conservatoire de Paris, pour des représentations au Théâtre des Abbesses à Paris au printemps 2016.

Transmission de soli extraits de Meublé sommairement et du Saut de l’Ange par Catherine Legrand à de jeunes chorégraphes sur la thématique « ce qui fait trace chez l’interprète », dans le cadre du Programme Recherche et Composition Chorégraphiques, prototype 3, dirigé par Herve Robbe, à l'abbaye de Royaumont du 14 au 16 décembre 2015.

Transmission d’extraits du Crawl de Lucien par Romain Panassié à 15 élèves de l'école de danse de Caussade et du Conservatoire de Montauban pour une présentation lors de rencontres régionales à Cap’Découverte à Carmaux (Tarn) le 10 avril 2016.

Transmission d’extraits d’Une danse blanche avec Eliane par Romain Panassié à un groupe de professeurs de danse et d'éducation physique du Gers pour une présentation lors de rencontres régionales à Cap’Découverte à Carmaux (Tarn) le 10 avril 2016.

Stage d'introduction à la notation via la partition du duo de Déserts d'amour par Claire Roucolle pour les élèves du Grenier du corps à Marseille durant les vacances d’hiver en février 2016.

Catherine Legrand souhaite recréer Jours étranges pour 6 danseuses professionnelles. Son projet verra le jour durant la saison 2016-2017.

Mon ouvrage de partage du répertoire contemporain s’obstine dans un élan très simple. Celui de la mise au travail des danseurs par la pratique de leur métier afin de comprendre ce qu'une pièce nouvellement interprétée peut continuer à révéler d'elle-même.
Avec Jours étranges, il s'agit de proposer aux interprètes d'entrer dans une écriture chorégraphique précise, rigoureuse, et d'aborder aussi les jeux spécifiques à cette pièce pour l'invention et l'écriture du mouvement.
Ainsi dans cet échange, c'est également l'œuvre qui est mise au travail, fouillée par les interprètes, et le public en est le témoin.
Jours étranges s'organise autour de cinq chansons des Doors, issues de l'album Strange Days, et met en jeux des situations chorégraphiques au travers desquelles Dominique Bagouet  cherchait à désapprendre un certain savoir-faire qui lui collait à la peau. Il en est advenu des scènes burlesques et poétiques où la fragilité des êtres, suspendue comme un sort, ne quitte jamais le plateau. 
La structure en est précise et  le contenu relatif à la qualité des danseurs.
Elle sera interprétée par un groupe de personnes que je souhaite rassemblées  pour ce projet, à cause de leur talent.
Six femmes pour Jours étranges.
Je cherchais la distribution pour une version que je souhaitais portée par des artistes qui me manquent sur les scènes et qui sont par ailleurs des interprètes expérimentés, forts et talentueux.
Le nombre des femmes allongeait considérablement la liste.
Devoir choisir et mettre de côté nombre de danseuses pour une question de parité des genres comme le hasard en avait décidé lors de la création de la version d'origine, m'a paru déplacer le réel enjeu de ce projet.
Enfin, comme cela prenait sens, s'est imposée cette option de tester l'œuvre ainsi bouleversée par une interprétation exclusivement féminine.
Ainsi, au cœur de mon sujet sur la transmission, l'interprétation et l'actualisation d'une œuvre, et comme nous l'avons vérifié avec le groupe constitué d'adolescents en 2012, je crois que ce rassemblement de femmes donnera à son tour, une tonalité autre et particulière à ce Jours étranges.
Catherine LEGRAND, juin 2015

Le Centre Chorégraphique de Strasbourg a organisé en partenariat avec l’Adiam 67 une journée d’étude sur la transmission de la danse pour 16 danseurs, chorégraphes et enseignants le 15 novembre de 9h à 17h :

En s’appuyant sur l’expérimentation menée par le Laboratoire des Carnets, cellule de recherche et d’expérience au sein de l’association Les Carnets Bagouet et une équipe de recherche de la chaire Psychologie du travail, dirigée par Yves Clot au sein du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), le Centre Chorégraphique de Strasbourg propose, en partenariat avec l’ADIAM 67, une journée d’étude sur la transmission de la danse avec un éclairage particulier de cette activité dans le cadre de l’enseignement.
La journée s’articulera à travers des échanges d’expériences, des ateliers en studios et le partage de questions et réflexions. En prenant appui sur le film réalisé sur l’expérimentation menée par le Laboratoire des Carnets et le Cnam, Des instruments d’action de la transmission en danse, cette journée se veut le lieu de la mise à jour d’une pensée collective et partagée qui, sans être unique, offre de multiples points de vue et s’enrichit des différences. Point de consensus mais une multiplicité de chemins et de regards qui font la force du collectif et alimentent la pensée en mouvement qu’est la danse.
Michèle Rust - 13 juin 2015

Intervenants : Bruno Danjoux, Romain Panassié, Jean Rochereau, Michèle Rust, membres du Laboratoire des Carnets et Mylène Zittoun, psychologue du travail, membre de l’équipe de recherche Clinique de l’activité, dirigée par Yves Clot.

Les membres du Laboratoire des Carnets, dans le cadre de leur projet soutenu par la fondation d’entreprise Syndex, ont commencé leurs résidences d’écriture, en deux groupes distincts. L’originalité de ce travail de recherche est d’associer des danseurs et des chercheurs spécialistes du travail pour questionner la danse du point de vue du métier. Les danseurs rassemblés dans ce projet sont à la fois interprètes, enseignants et chorégraphes. Différents axes fonctionnent en parallèle. Dans le temps imparti, il s’agit d’aboutir chaque travail de groupe en un objet puis réunir l’ensemble qui constituera un catalogue d’outils sur les enseignements des travaux conduits. Ces résidences auront lieu jusqu’en août 2016.

Fondation Syndex

A l’occasion de la publication du nouveau fonds des archives audiovisuelles d’Olivia Grandville-Cie La Spirale de Caroline, le site de ressources en ligne FANA-danse contemporaine présente sa dernière configuration enrichie de nouvelles fonctions. En un modèle innovant, FANA Danse contemporaine s’avance comme une ressource en ligne sans équivalent permettant d’accéder à des fonds d’archives audiovisuelles exhaustivement constitués autour d’un chorégraphe ou d’une compagnie chorégraphique contemporaine.
FANA s’adresse aussi bien aux chercheurs, aux artistes, aux enseignants qu’à tout amateur de danse et de spectacles vivants. Dans le champ des patrimoines numérisés liés aux arts vivants, FANA répond à l’importance et à la nécessité d’une description précise et détaillée des vidéos, considère la dynamique proprement collective et mouvante des œuvres et offre des outils et des navigations spécifiques pour consulter, partager ou citer les documents audiovisuels en totalité ou en extraits.
Avec plus de 380 documents audiovisuels accessibles sur simple demande, 750 fiches détaillées, 120 auteurs et 140 « œuvres de référence », FANA présente actuellement  les Fonds des Archives Numériques Audiovisuelles de Dominique Bagouet - Carnets Bagouet et celui d’Ingeborg Liptay-Compagnie Ingeborg Liptay.
http://fanum.univ-fcomte.fr/fana

FANA



  retour haut de page