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paroles de bagouet
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Il rentre en France en 1976, travaille sa première chorégraphie dans l’optique du concours de Bagnolet avec Bénédicte Billiet, Yvonne Staedler et Douchka Langhofer. Une très grande danseuse évanescente entourée de deux poupées délicates et mécaniques, tel le surgissement des vieux fantasmes enfouis depuis l’enfance : c’est chansons de nuit qui obtient le premier prix.
 photo D.R.
A la fin du concours, André-Philippe Hersin, alors programmateur de la danse au Festival d’Avignon, l’invite et c’est la création de endenich. Il fonde sa compagnie, crée ribatz, ribatz ! puis snark. Il est Lauréat de la Fondation de la vocation en 1977.
 ribatz, ribatz ! / photo Michel Seban
Une suite pour violes (1977) met en place une danse très soucieuse de structure, tandis que sa première longue pièce, voyage organisé (en octobre à Créteil) agence un défilé de personnages, un couple marié, romantique à souhait, une famille, des enfants, pour des situations comiques ou nostalgiques, avec pour point de départ la bande originale de l’Atalante, et une certaine manière à la fois poétique et cocasse de rendre hommage au cinéma des années 30...
 voyage organisé / photo Danka Semenowicz
Les pièces s’enchaînent rapidement entre 1978 et 1979 : passages pour la compagnie des Ballets de Lorraine à Nancy, tartines à La Rochelle, sur des herbes lointaines, conférence, une pièce collective avec les danseurs de la Compagnie. Avec les gens de..., le problème de la narration est à l’ordre du jour, tandis que danses blanches s’oriente vers une certaine sobriété, une recherche formelle, une « écriture ».
 les gens de… / photos Guy Delahaye
sous la blafarde, œuvre nostalgique, bifurque à nouveau vers les petits charmes ; avec un faux air de café-théâre, cette pièce se sert très irrésistiblement du « feeling » des chansons réalistes de Fréhel et de l’accordéon d’Eliane Lencot.
 sous la blafarde / photos Danka Semenowicz
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