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paroles de bagouet
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1951-19751984-19851984-198519871989
En 1980, il est invité à créer le Centre chorégraphique régional de Montpellier. Après une danse blanche avec éliane, grand corridor pose discrètement les bases de « l’écriture bagouetienne ».
Fini le mouvement qui n’en finit pas de finir, les traces d’une technique Limon jusque là présente. Plus de voltes, plus de courbes interminables. Les gestes sont de plus en plus précis et découpeurs d’espace, la technique de plus en plus minutieuse.
 une danse blanche avec éliane / photo D.R.
En 1981, il part à Paris créer les voyageurs pour le Groupe de Recherches Chorégraphiques de l’Opéra de Paris tout juste initié par Jacques Garnier. Il prend la direction artistique du premier Festival International Montpellier Danse, y présente la pièce la plus longue qu’il ait jamais écrite, toboggan, en sept séquences et sept solos.
 les voyageurs / photo Francette Levieux
Dans cette voie, il crée insaisies (1982). Un travail des bras très caractéristique s’y développe pour la première fois dans une verticalité surprenante. La danse se strie de traits plus ou moins fulgurants, de petits gestes, de solos jaillissants. « Pourtant la lenteur, le statisme, une sorte de rêvasserie de la forme donnent à penser que le chorégraphe a, au sens propre du terme, besoin d’arrêter sa danse, de la suspendre. insaisies, c’est aussi le refus de la rencontre, de la concrétisation, c’est l’éclosion de l’angoisse ».
 insaisies / photo Christian Ganet
Il fait sa première vraie rencontre avec la technique Cunningham, grâce à « Alphard », une pièce de Kilina Crémona dans le cadre du Festival International Montpellier Danse.
 insaisies / photo Christian Ganet
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